A la veille de sa cinquième décennie, l'occupation israélienne dans les territoires Palestiniens ne peut plus être considérée comme une aberration temporaire. A l'ombre du processus d'Oslo, de la deuxième Intifada, du "désengagement" de bande de Gaza et des agressions récurrentes, le contrôle d'Israël sur la vie, la société, l'espace et la terre des Palestiniens s’est fermement ancré et a acquis des formes plus sophistiquées et durables.
Les causes de l’insécurité alimentaire en Palestine sont de nature politique et renvoient d’abord à l’occupation et à la coercition israéliennes. Parmi les facteurs aggravants connexes : l’inadéquation des programmes d’aide extérieure, l’absence de politique agricole appropriée et les divisions intra-palestiniennes. Face à l’importance et à la complexité des défis, les organisations sociales palestiniennes peinent à s’articuler.
Avec la reconfiguration territoriale et la mise en place de l’Autorité palestinienne qui ont suivi les accords d’Oslo, puis les bouleversements liés à la seconde Intifada, les orientations et les priorités des ONG palestiniennes ont évidemment évolué, notamment pour celles qui ont un lien avec l’enjeu du « retour à la terre ».
«Mais pour qui se prennent-ils ? Pour les nouveaux Chevaliers de l’Hôpital ? D’une main l’épée, le stéthoscope de l’autre !» Voilà en substance la réaction ulcérée de la communauté humanitaire, après les largages de colis alimentaires par l’armée américaine au-dessus de l’Afghanistan – entre deux bombardements. Déjà, lors de la «première guerre humanitaire» menée par l’OTAN au Kosovo (1999), elle avait ressenti un réel sentiment de révolte.
Médecins Sans Frontières intervient depuis 1981 dans l'ex Congo-Zaïre, rebaptisé République Démocratique du Congo en mai 1997. Depuis près de 10 ans, ce pays passe d'une guerre à l'autre sans discontinuer. Comme à chaque fois, ce sont les populations qui subissent les plus gros dommages: les morts civils directs ou indirects se comptent par centaines de milliers pendant que les survivants essayent de subsister sur un territoire ruiné et divisé. Jusqu'à présent, la communauté internationale est restée impuissante, voire impassible...
Médecins Sans Frontières intervient depuis 1981 dans l'ex Congo-Zaïre, rebaptisé République Démocratique du Congo en mai 1997. Depuis près de 10 ans, ce pays passe d'une guerre à l'autre sans discontinuer. Comme à chaque fois, ce sont les populations qui subissent les plus gros dommages: les morts civils directs ou indirects se comptent par centaines de milliers pendant que les survivants essayent de subsister sur un territoire ruiné et divisé. Jusqu'à présent, la communauté internationale est restée impuissante, voire impassible...
Médecins Sans Frontières intervient depuis 1981 dans l'ex Congo-Zaïre, rebaptisé République Démocratique du Congo en mai 1997. Depuis près de 10 ans, ce pays passe d'une guerre à l'autre sans discontinuer. Comme à chaque fois, ce sont les populations qui subissent les plus gros dommages: les morts civils directs ou indirects se comptent par centaines de milliers pendant que les survivants essayent de subsister sur un territoire ruiné et divisé. Jusqu'à présent, la communauté internationale est restée impuissante, voire impassible...
Médecins Sans Frontières intervient depuis 1981 dans l'ex Congo-Zaïre, rebaptisé République Démocratique du Congo en mai 1997. Depuis près de 10 ans, ce pays passe d'une guerre à l'autre sans discontinuer. Comme à chaque fois, ce sont les populations qui subissent les plus gros dommages: les morts civils directs ou indirects se comptent par centaines de milliers pendant que les survivants essayent de subsister sur un territoire ruiné et divisé. Jusqu'à présent, la communauté internationale est restée impuissante, voire impassible...