© Morgana Wingard
Généralement, les organisations médicales humanitaires ont du mal à faire face à la mort. Cela paraît surprenant, car la triste réalité de ce type de métier est que le personnel au front est souvent témoin de la mort. Contrairement à la propension naturelle des humanitaires à l'autoglorification, il n'est pas toujours possible de sauver des vies. Qu’en est-il donc du double impératif souvent cité d’alléger les souffrances et de préserver la dignité?